Galates 1 :5-10 – L’apôtre Paul est attristé du comportement des Galates qui abandonnent si facilement Christ pour revenir à la loi. Dans Jérémie 2 :12-13 (LSG), l’étonnement de Dieu a le caractère d’un reproche douloureux : celui de la facilité qu’a l’homme à se détourner de Sa grâce.. ; Jésus lui-même éprouvait ce sentiment : «! il s’étonnait de leur incrédulité! » (Marc 6:6) LSG.
L’appel d’amour et de grâce de Dieu par Jésus-Christ est la seule bonne nouvelle offerte à l’homme, ne nous laissons pas troubler par de fausses nouvelles évangéliques, par d’autres évangiles : l’évangile politique, l’évangile qui nie la divinité de Jésus, l’évangile de la prospérité et bien d’autres encore sont de faux évangiles. L’évangile de Christ n’est pas une idéologie ou une mode, reconnaissons son œuvre parfaite, donnons à Jésus la place qui lui revient et l’honneur suprême.
La Bible parle constamment de la Grâce de Dieu en Jésus-Christ pour le salut de l’âme. Face à sa conscience, homme ne peut prétendre être sans péché et être justifié : celle-ci le condamne irrémédiablement ; et par ce commandement de la loi :
« Tu aimeras l’Eternel, ton Dieu, et tu observeras toujours ses préceptes, ses lois, ses ordonnances et ses commandements »
Deutéronome 11:1 (LSG)
L’homme pécheur est définitivement condamné car incapable de pratiquer la loi. Sa destinée serait-elle alors la mort éternelle ? Certainement pas ! Celui qui se sait condamné par sa conscience et coupable par la loi peut être justifié par la foi en Jésus-Christ – Galates 2 :16 (LSG). La Grâce de Dieu est pleinement accomplie par le sacrifice de Jésus qui veut vivre en nous une double identification : sa mort et sa résurrection pour notre salut éternel.
Dés le début de la création, l’Esprit de Dieu est à l’œuvre ;
Il est toujours au travail et pousse constamment l’homme
à agir de manière à glorifier Dieu.
C’est lui qui appelle, inspire, révèle la pensée du père et du fils.
Mais la liberté que Dieu nous laisse, peut freiner l’Esprit
car il y en chacun de nous cette dualité permanente
de la chair avec ses désirs, (Ephésiens 2 : 3)
contraires à ceux de l’Esprit.
L’apôtre Paul dit encore :
« Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas »
(Romains 7:19).
La chair exalte ce qui est poussière, l’Esprit élève ce qui est éternel. Ce combat permanent entre la chair et l’Esprit, combat voulu de Dieu, engage le chrétien à marcher dans les pas de Jésus en renonçant à lui-même
S’il y a une chose importante dans les rapports humains et dans le rapport entre l’homme et Dieu, c’est bien le pardon. Sans le pardon c’est inévitablement la haine entre les hommes et l’attente du jugement de Dieu.
Les conséquences du refus de pardonner sont incalculables: foyers brisés, meurtres, dépressions, guerres… mais le refus de pardonner n’existe pas en Dieu.
En effet, Dieu ne se lasse pas de pardonner car Dieu aime les hommes et quelle que soit la profondeur de notre épreuve et de notre détresse, Dieu entend.
Nous sommes gestionnaires et responsables du temps qui nous est prêté. Nous aurons des comptes à rendre sur la façon dont nous l’aurons utilisé.. Le gaspillage du temps est un obstacle majeur nous empêchant de vivre une vie qui honore réellement Dieu, dispensateur du temps. Satan, grand maître des illusions travaille dans ce sens: faire gaspiller son temps à l’homme.
Marc Atger cite des versets de la Bible à profusion pour démontrer combien est grande la responsabilité du chrétien dans ce domaine. Il enseigne des règles pratiques à respecter pour ne pas dilapider ce cadeau divin. Un avertissement fort de la part de Dieu : un message qui devrait aider à recentrer les priorités.
La lecture des lettres du Nouveau Testament est parfois surprenante. Elles sont adressées à des disciples de Jésus-Christ, à des hommes et des femmes qui ont reçu le Saint-Esprit, qui ont été sanctifiés et qui pour la plupart ont rencontré les Apôtres du Seigneur Jésus.
Et pourtant, ces lettres nous permettent de relever dans la vie de ces même chrétiens, de bien tristes réalités. Marc Atger fait un relevé rapide de certaines des choses qui sont reprochées et nous invite à nous examiner nous-mêmes.
Beaucoup d’hommes et de femmes ne comprennent pas le péché et ça n’est pas si incroyable. Dans notre société, le péché n’existe pas! Toutes les tentatives de scientifiques ou d’intellectuels d’effacement du péché jouent un rôle dans notre difficulté à comprendre le péché.
Pourtant, on croit en Dieu et par conséquent en la réalité de ce qu’il appelle le péché, mais notre culpabilité ne nous apparaît pas. Nous avons hérité d’une nature mauvaise et nous sommes responsables de ce qu’on va faire avec cette mauvaise nature. En prenant plusieurs textes de la Bible, Marc Atger nous parle ici de la conviction personnelle de péché.